I. Biographie
II. Les lois de Mendel
III. Travaux
IV. Conclusion
I. Biographie
En 1840, il à voulu entré a l'université mais il à eu du mal à financer ses études et songe à devenir ecclésiastique. Grâce à l'intervention d'un de ses professeurs, il entre en 1843 au monastère des ermites de Saint-Augustin de Brünn, où il deviendra prêtre en 1847, sous le prénom de Gregor. En 1851, il s'inscrit à l'université de Vienne, où, pendant deux ans, il étudie les sciences naturelles, mais aussi la physique expérimentale auprès de Christian Doppler.
De retour à son monastère, il y passera le restant de sa vie et y fera ses recherches sur l'hybridation des végétaux. Mais, élu en 1868 supérieur de son couvent ainsi que de tout l'ordre des Augustiniens en Autriche, il devra consacrer beaucoup de temps aux devoirs de sa charge et abandonnera en 1873 ses travaux sur les mécanismes de l'hérédité.
II. Les lois de Mendel
Première loi : Loi d'uniformité des hybrides de première génération : aucune forme intermédiaire n'apparaît en F1 quand les parents sont de souches pures. Le concept de l'hérédité par mélange est réfuté.
Deuxième loi : Loi de pureté des gamètes : Les facteurs héréditaires se séparent dans les gamètes. Un gamète ne contient qu'un facteur de chaque caractère.
Troisième loi : Ségrégation indépendante des caractères héréditaires. Le cas pour les hétérozygotes.
III. Travaux
Mendel
« croise » des pois produisant des graines lisses avec des
pois produisant des graines ridées.
Il
a effectué ses croisements entre des plantes de ligné pure
c’est-à-dire d’une ligné d’organisme de même caractère qui
croisé entre eux donnent exclusivement des descendants de ce
caractère.
Quand
une plante produisant des graines ridées se forme, il sectionne les
étamines pour évité l’autofécondation et il enveloppe la fleur
dans un petit sac de papier pour éviter toute pollinisation par le
pollen d’un autre pied de pois.
A
l’aide d’un pinceau, il récolte le pollen de pois à graines lisses
et le dépose sur le stigmate des fleurs à pois ridés.
Il
répète la même opération dans le sens inverse.
De ce croisement, il va obtenir quatre pois lisses qu’il va appeler génération F1 (fratrie de première génération). Il va également dire que la génération F1 est une génération d’hybride.
Mendel
va laisser les fleurs issu des quatre pois de la génération F1
s’autoféconder.
De
cette autofécondation il va obtenir 75 % de pois lisse et 25% de pois
ridés.
Mendel
va déduire que le caractère lisse est un caractère dominant qu’il
va noté [L] et la caractère ridé est quand a lui récessif et est
noté [r].
Pour sa
troisième loi Mendel effectue un premier croisement entre des pois
hybrides lisse et jaune avec des pois hybrides ridées et verte. Il
obtient en F1 uniquement des graines lisse et jaunes. Des pieds issus
de la germination des graines de F1 obtenues sont croisés entre eux.
Il obtiendra au total en F2 315 graines lisses et jaunes, 108 graines
lisses et vertes, 101 graines ridées et jaunes et enfin 32 graines
ridées et vertes.
Pour réaliser ses expériences, Mendel a utilisé sur 28 000 plants, il en examine 13 000 et environ 300 000 graines. En 1916, un scientifique nommé Thomas MORGAN s'appuiera sur les travaux de Mendel pour réaliser des croisements entre des Drosophiles (petites mouches) ce qui validera les travaux de Mendel.
