Alexander Fleming


Sommaire :


I. Biographie

II. Ses découvertes

III. Ses collaborations

IV. Contexte historique

V. Conclusion


I. Biographie

Alexander Fleming est connu pour être le père de la pénicilline. Il est né d’une famille d’agriculteur le 6 juillet 1881 et décédé le 11 mars 1955. Au décès de ses parents, a 14 ans il a rejoint son frère ainé à Londres. En 1901, il abandonna ses études de commerce. Après avoir bénéficié d’un héritage, il se lança dans les études de médecine qu’il réussit avec succès. Il intégra le Sainte Marie Hôpital où il rencontra son épouse Sarah. Il a eu le prix Nobel de médecine en 1945 pour ses travaux sur la pénicilline.


II. Ses découvertes

En 1928, alors qu’il étudiait les staphylocoques dorés, il fit sa plus grande découverte. En son absence, une de ses cultures de bactéries a été contaminé par une moisissure nommé pénicillium notatum, de couleur bleu-vert que l'on retrouve sur le pain ou les fruits moisis ainsi que sur certains fromages. Il observa que cette dernière produisait un fluide bactéricide qui agissait en paralysant ou en supprimant les staphylocoques dorés.


III. Ses collaborations

Deux chercheurs de l’académie d’Oxford : Howard Florey et Boris Chain ont permis au Dr Fleming de stabiliser la pénicilline par un procédé de cristallisation. Ce procédé consiste à l'abaissement de la température de la solution ce qui provoque  la diminution de la solubilité du produit en solution et qui induit sa cristallisation.




IV. Contexte historique



La pénicilline paralyse ou tue les bactéries ( que ce soit sur les plaies, dans le sang ou dans l’organisme). Elle soigne aussi la syphilis. La période de la deuxième guerre mondiale fut propice pour l’exploitation de la pénicilline. Elle était exclusivement réservée aux soldats. Alexander Fleming fit bien plus que d’observer simplement les progrès de sa découverte ; il a en plus collaboré à l’avancement du programme de recherches britanniques. La production de pénicilline, vite organisée en raison des nécessités en temps de guerre, permit de sauver des milliers de vies et de maintenir les approvisionnements de fournitures médicales tout au long du conflit.


V. Conclusion

La pénicilline fut une découverte majeure dans la médecine. Grace à elle plusieurs millions de vie ont été, sont et seront sauvées. Les découvertes importantes sont souvent dues au hasard, une recherche sur une molécule peut soigner une autre maladie que celle dont elle faisait l’étude.


Citation :

"La pénicilline guérit les humains ; le vin les rend heureux."




Kenza ZAHOUILY et Damien SCHWARZROCK